Avoir un petit carnet comme allié.

C'est le compagnon des jours tristes ou des grandes joies, et l'assistant de choc quand il faut se remémorer l'essentiel.

A spirales avec une couverture à petits carreaux ou broché tout blanc, selon ses goûts, le notebook représente symboliquement, quelque soit son format, notre espace de liberté mentale.

"A mes clientes, je propose toujours de démarrer leur parcours de changement en s'achetant un très joli carnet, qui leur plaise vraiment", explique Florence Lautrédou, coach et psychanalyste, auteur de "Cet élan qui change nos vies, l'inspiration" (éd. Odile Jacob). "Celui-ci est à voir comme un "adjoint" de valeur, porteur dans une certaine mesure de l'amour que l'on a pour soi, alors...". On y écrit ce que l'on veut. Et même s'il permet de lister des courses à faire ou des pensées précieuses pour l'avenir, rien à voir avec l'agenda, sur lequel on consigne essentiellement notre vie organisationnelle.

En aucun cas notre smartphone ne pourra se substituer à l'inséparable petit carnet qui oppose à une rigidité et à une froideur technologique, un rapport plus intime avec un objet qui se griffonne, se remplit de gribouillis, peut se corner, car on y écrit à la main, de façon personnelle.

Avec cet ami, on flirte et on se confie. On se lâche et on rêve. Une émotion qui nous submerge, les deux ou trois choses essentielles que l'on veut retenir d'une rencontre, le nom d'une boutique ou d'un spa conseillé par une amie, la phrase de sagesse qu'on ne veut pas oublier.

IL NOUS PERMET A LA FOIS DE NOUS EXPRIMER SANS TABOU
ET DE PRESERVER LE MEILLEUR DE NOTRE VIE MENTALE.

 (Extrait du livre "Mental detox"
30 habitudes à prendre pour se préserver, s'alléger et se retrouver).

Depuis mardi 28 novembre 2017, le Pouce de César, une sculpture de bronze de 6 tonnes et 6 mètres de hauteur, est installé sur le parvis du Centre Pompidou.

Décédé il y a 20 ans, le célèbre sculpteur français César, membre du mouvement des Nouveaux réalistes de 1960, est connu notamment pour avoir réalisé le trophée en bronze de la cérémonie des César. Il s'agit ici d'un autoportrait agrandi de son pouce, à découvrir jusqu'en mars 2018, avant qu'il ne déménage à New York.

 J'ai emmené mon amoureux le voir samedi après midi. Il a détesté. Il n'à même pas voulu prendre une photo. Il me fait trop rire. Il ne comprend pas mon engouement pour toutes ces œuvres proposées tout au long de l'année un peu partout dans Paris. J'ai toujours été très curieuse. Je n'aime pas tout mais j'essaie de comprendre et de ne pas m'enfermer dans un style bien précis. 

Synopsis :

Mo est beau, charismatique, et a le goût de l'adrénaline. Il fait des courses clandestines. Lorsqu'il rencontre Lila, jeune fille bègue et timide, c'est le coup de foudre. Il va immédiatement la prendre sous son aile. Mais Lila est loin d'imaginer que Mo porte un secret : il ne sait pas lire.

 Une très belle histoire. On se laisse prendre par le film et ses personnages. Je suis allée le voir sans connaître le sujet du film. Une belle découverte.

Quand on a une baisse de régime, rien de tel que de s'écouter un petit Manu Chao ! A consommer sans modération.

Je suis entrain d'écouter "Sibérie m'était contée". Une de mes préférées : Le petit jardin.

Préparation : 20 minutes

Cuisson : 35 minutes

 

Ingrédients (pour 3 personnes) :

• 3 poireaux
• 100 gr de lardons
• 1 fromage de chèvre (crottin)
• 3 œufs
• 20 cl de crème fraîche
• 10 cl de lait

 

Préparation :

Nettoyez puis émincez les blancs de poireaux.

Faites dorer les lardons avec les poireaux. Répartissez-les dans trois petites marmites beurrées.

Préchauffez votre four th 6 (180°C).

Dans un bol, battez les œufs, la crème et le lait. Assaisonnez à votre goût puis versez le mélange dans les marmites.

Découpez le fromage de chèvre en trois rondelles, en déposer une dans chaque marmite.

Enfournez pour 25 à 30 minutes .

Bon appétit !

 

Je vais tenter de réaliser cette recette. Je n'ai pas de petites marmites (à me procurer à l'occasion). J'ai acheté des légumes ce matin dont des poireaux (car pas cher et j'aime bien les poireaux vinaigrette avec des œufs durs). Le hic, je ne mange que le vert du poireau. Je vais tenter de cuisiner le blanc voire si ça passe mélangé à l'appareil proposé ! On verra bien ! Au pire, je congèle et je garde pour mon amoureux (sourires).