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    Luz Cazal

    Luz Casal

    Chanteuse
    Luz Casal, est une chanteuse espagnole née le 11 novembre 1958 à Boimorto, en Galice, mais ayant grandi dans les Asturies. La chanson mexicaine Piensa en mí, composée en 1937 par Agustín Lara, et régulièrement diffusée sur les ondes, évoque le film Talons aiguilles de Pedro Almodóvar dont elle était l’emblème lors de sa sortie en 1991. Pour beaucoup, cette chanson est également indissociable de la voix chaude et rocailleuse qui l’interprète, celle de Luz Casal. Or, si le nom est connu, l’artiste, quant à elle, reste un mystère pour la plupart des francophones.  
     
    Je l'écoute en boucle depuis ce matin. J'ai vu des affiches dans le métro. Elle passe le 5 décembre salle Pleyel (35 euros la place, ça reste correct). Vraiment le genre d'artiste que j'aimerais voir sur scène. J'ai quelques CD à récupérer dans mon ancien appartement. Elle en fait partie. Merci à You Tube qui me permet depuis ce matin de revisiter son univers.

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  • Un magnifique spectacle.

     

    Notre-Dame de Paris, située sur l'île de la Cité à Paris, propose un voyage dans le temps à ces visiteurs, grâce à un son et lumière avec pour décor la façade de la célèbre cathédrale.

    Ainsi, tous les soirs de la semaine et jusqu'au 11 novembre 2017, dans le cadre des célébrations de la grande guerre, Notre Dame de Paris offre un visage unique à ses visiteurs, en se parant de lumière grâce à un mapping vidéo. Le bâtiment s'anime au grè des 17 tableaux lumineux mis en scène par Bruno Seillier.

    Ce spectacle gratuit 
    propose de suivre la rencontre entre une jeune infirmière française et d'un soldat américain agonisant, en 1917.

    Je ne regrette pas d'être sortie de chez moi pour aller voir ce magnifique spectacle. Une petite réflexion d'un badaud voyant tous les gens le portable levé "Ils ne savent plus regarder avec les yeux" m'a fait prendre conscience qu'il avait raison, j'ai remis mon portable dans ma poche et j'ai regardé avec le cœur.


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    Synopsis :

    Novembre 1919. Fin de la guerre. Albert Maillard soutient de son mieux son ami Édouard Péricourt, victime des derniers combats et tristement défiguré. Édouard refuse de revenir à la vie civile dans cet état et avec l’aide d’Albert, se fait passer pour mort. Encore convalescent, il se prend d’amitié pour une orpheline, Louise, avec laquelle il invente une arnaque très inspirée : conjuguer ses talents de dessinateur à ceux de comptable d’Albert pour escroquer les communes en leur vendant de factices monuments aux morts...

    Les costumes et particulièrement les masques, éléments essentiels de la mise en scène, sont le reflet de l’intériorité d’Édouard, privé d’expression, et significatifs d’un monde en perpétuelle représentation. L’hystérie collective qui fait suite à l’armistice annihile toute possibilité pour les poilus de faire comprendre la violence de ce conflit sur le terrain. L’attitude hypocrite du reste de la société est un symptôme de l’omerta liée à ce qui s’est réellement passé dans les tranchées. La guerre est finie, il s’agit de vivre à nouveau et éventuellement de s’acheter une bonne conscience, notamment par la construction de monuments...

    Adaptation du roman homonyme de Pierre Lemaitre (Prix Goncourt 2013), Au revoir là-haut associe avec brio l’univers si particulier d’Albert Dupontel au récit palpitant d’un morceau de la grande Histoire. Le film allie toute sorte d’émotions sans jamais manquer de rythme et reste extrêmement divertissant. Notons enfin la performance impressionnante de Nahuel Perez Biscayart, révélé par 120 battements par minute, qui confirme ici un talent de comédien hors du commun.

     
     
    Très bon film. Les critiques ne se sont pas trompées. La salle était pleine.
    Vraiment un très bon moment de cinéma. Je serais tentée de lire le livre.

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  • Far breton !

    Avec ou sans pruneaux ?

    Moi, j'ai toujours cuisiné le far breton avec des pruneaux. Mon amoureux m'en a fait un cette semaine, sans pruneaux. Il me dit que c'est la vraie recette.

    J'ai comme un léger doute (sourires).

    Je préfère le far avec des pruneaux ! Donc la prochaine fois, c'est moi qui cuisine.


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  • Marie Francine.

     

    Synopsis :

    Quittée par son mari et virée par son employeur, Marie-Francine n'a d'autre choix à 50 ans que de retourner vivre chez ses parents. Désespérée par la situation et infantilisée par ces derniers, elle fait pourtant la rencontre de Miguel dans la petite boutique de cigarettes électroniques que ses parents lui ont demandé de tenir.
    Mais comment vivre un amour naissant alors qu'on ne dispose pas de maison pour l'abriter ?
     
     
    Ne casse pas trop pattes à un canard. BOF BOF BOF. Je me suis endormie au milieu et je n'ai vu que la fin.
     
    Ce n'est bien entendu que "mon humble avis". Je ne suis en rien critique de cinéma (sourires).

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